C’est l’histoire vraie de Justo Gallego.
« Justo Gallego est un vieil homme qui, depuis plus de cinquante ans, construit une cathédrale dans la grande banlieue de Madrid(…) Il construit une cathédrale, seul, de ses propres mains, sur un terrain agricole appartenant à sa famille. »
Adapté du récit de Mark Greene, ce texte est le récit de la fabuleuse traversée d’un homme pour qui rien n’est impossible(…)
La lecture de ce texte a fait surgir en moi un désir immense de le partager, de le faire entendre et « d’en faire théâtre ».
« Il n’y a pas de chemin. Il n’y a pas de fin. Il s’agit seulement de se lever et d’attendre le moment propice. Le moment où la peur s‘éfface. Où elle desserre son étreinte. Il s’agit de se lever et, en inclinant le buste en avant,

de sorte que la jambe s’avance pour nous éviter de tomber, de commencer à marcher »
Le réel aujourd’hui ne cesse de décliner la catastrophe et l’im- possible. Le théâtre n’est pas seulement là pour promener un miroir sur l’état du monde mais aussi pour nous proposer des utopies existentielles et poétiques.